Comme ils sont grands, ces petits !

Bernard, le jeune garçon de ce roman nous aide à réinventer notre propre enfance empreinte de douceur, d'émotion et d'espiègleries.

Poussons la porte d'une demeure accueillante, celle des grands-parents qui, au coin du feu, savent si bien parler de l'ancien temps ! Ils sont pauvres mais toujours prêts à offrir quelque chose. Pour mieux nous parler de la Creuse où il est né et de la côte d'Or qu'il aime, Claude Taudin se penche sur la vie des années 50 et évoque les charmes de ce qui n'est plus.

Accueillons les copains du Cours Complémentaires, repartons en balade avec eux, à la maraude des cerises, à la pêche aux ablettes...

Laissons-nous griser par les descentes en luge, par la douceur des soirs d'été... par tous les bonheurs simples... sans oublier les vendanges à Nuits-Saint-Georges !

à suivre...

Comments

[Latil]

J aime beaucoup ce communiant avec son noeud sur le bras.Cette mode a existé a peu prés jusqu en 58. Les filles portaient une robe longue en mousseline, ce qui devait leur donner un avant gout du mariage.Puis brusquement sur 2 ans tout le monde a du porter une aube, cela a un peu gommé les disparites sociales.
Bonne journée Latil

[zoreille fany]

Ils sont beaux et grands ces petits, ton article intéressant et le livre doit l'être aussi. J'aime venir chez toi, ah nostalgie quant tu nous tiens. Hier soir j'ai mis un message sur mon blog avec les objets de notre enfance et pour certains on les retrouve en 2010. Bonne nuit et bon dimanche. Gros bisous ma belle

[nina]

Bravo pour ce blog si intéressant.